25/9 | (Le Bien Public) | - Dijon et sa patinoire - | Jamais deux sans trois ? |
17/9 | (Le Dauphiné Libéré) | - Annecy - Neuilly (division 1) - | Chaud et froid |
17/9 | (Ouest France) | - Brest - Caen II (division 2) - | Le cru 2007-2008 des Albatros demande à se bonifier |
16/9 | (La Presse de la Manche) | - Cherbourg - La Roche sur Yon (division 2) - | Une défaite pleine d'espoir |
15/9 | (Le Bien Public) | - Fermeture de la patinoire de Dijon - | Quand les bactéries attaquent |
15/9 | (Le Journal du Pays Basque) | - Interview du président d'Anglet - | Je suis extrêmement déterminé à me battre jusqu'au bout pour des garçons qui le méritent |
14/9 | (L'Hebdo du vendredi) | - Présentation de Reims (division 1) - | Les phénix prennent déjà leur envol ! |
13/9 | (La Presse de la Manche) | - Interview de Jeff Risselin (Cherbourg) - | Le NC HOP reçoit La Roche sur Yon samedi en ouverture de la D2 |
En hockey tout peut aller vite. Sur la glace comme en coulisses. Les vikings ont pu le vérifier lors d’une période estivale où tout s’est bousculé pour eux. A l’issue d’un feuilleton administratif à rebondissements, les Nord-cotentinois ont, en effet, obtenu un ticket pour la Division 2. Une promotion bienvenue pour le club manchois qui ne demandait qu’à progresser et à évoluer. Reste qu’il ne faut pas que cette accession se transforme en « cadeau empoisonné »... Pour les Cherbourgeois qui n’ont appris la nouvelle qu’une semaine avant l’ouverture des débats, la tâche s’annonce pour le moins ardue. Préparation tronquée, effectif et finances limités, les Vikings devront assurément faire avec les moyens du bord. Quoi qu’il en soit, cela ne les effraie pas. Au contraire. Comme nous le confirme, JF Risselin, l’entraîneur cherbourgeois, ses joueurs sont motivés comme jamais à l’idée de franchir un nouveau palier. PM : Jean-François, le long feuilleton administratif de cet été est enfin terminé. Qui plus est par une bonne nouvelle, une accession en D2. JFR : On est soulagé parce que cela a été deux mois compliqués à gérer. On ne savait plus trop sur quel pied danser et on a bien mariné... Savoir que l’on y est, c’est une petite récompense. PM : Cette promotion n’est pas une fin en soit. D’ailleurs, les véritables difficultés commencent maintenant ? JFR : C’est certain. Pas mal de choses vont se bousculer : notre organisation du carré Vikings, prévenir les sponsors, avoir les licences et les équipements de gardien qui viennent de changer, etc... Et tout ça en une semaine... En clair, nous allons avoir un gros mois difficile pour se mettre dedans, que ce soit au niveau organisationnel ou sportif. PM : À ce sujet, on ne peut pas dire que la préparation a été optimale. Avez-vous pris beaucoup de retard ? JFR : On ne peut pas dire le contraire. On a pourtant repris le hors glace début août et la glace après la mi-août, en alternant glace et hors glace. Mais bon, c’est sur que cette préparation n’a pas été évidente à gérer, dans le sens où l’on ne savait pas dans quelle division on allait jouer. Ainsi, au niveau de l’implication, pas mal de joueurs cogitaient. Même chose pour l’effectif puisque celui-ci n’allait pas être le même en D2 ou en D3. Cela n’a pas été une préparation maximale comme on avait pu le faire la saison dernière. PM : Avec quel effectif allez-vous relever ce challenge ? JFR : 13 joueurs de la saison passée sont restés. Notamment Kevin Da Costa, qui était en partance pour Caen mais qui a décidé de tenter l’expérience avec nous. Qui plus est pour renforcer cette ossature, nous avons fait venir un joueur de Caen. Et trois étrangers. Au total nous avons 17 joueurs opérationnels (plus 2 gardiens), soit trois lignes beaucoup plus homogènes que l’année dernière. PM : Quantitativement, c’est en progression par rapport à la saison dernière où vous aviez parfois du mal à rassembler un groupe complet. Sera-ce suffisant ? JFR : C’est mieux, c’est certain. Mais ce n’est pas l’opulence non plus. On n’est pas à l’abri des aléas de la compétition (expulsions, blessures) qui nous obligeraient à descendre à moins de trois lignes. Ce manque d’effectif sera à coup sûr, un problème qu’il faudra gérer cette saison. PM : Quoi qu’il en soit, vous vous attendez à souffrir. De fait, la marche n’est elle pas trop grande et l’accession ne vient-elle pas trop tôt ? JFR : Non. La montée est intéressante dans le sens où c’est une nouvelle étape pour le club qui passe d’un championnat régional à national. Après, c’est sûr, cette accession est administrative. On aurait évidemment préféré qu’elle soit validée sur le plan sportif. Maintenant, cela nous a été proposé parce que nos résultats nous autorisaient au vu des désistements ou rétrogradations à postuler. Cette promotion n’est pas usurpée. PM : Reste que les ambitions seront, il va de soi, modeste... JFR : L’objectif est évidemment le maintien. Déjà, c’est une première saison pour nous à ce niveau. Ensuite, nous faisons partie des plus petits budgets, soit 190 000 euros pour toutes les sections du club. Ce qui n’est pas énorme par rapport à d’autres clubs. Pour preuve, le contrat d’objectifs que l’on a avec la fédération nous impose de ne recruter que 3 joueurs étrangers. A l’inverse, un club comme Brest a pu en recruter douze ! La différence est là. On fait donc avec les moyens du bord et avec le groupe que l’on a sous la main. Et dans un sens, c’est normal car c’est grâce à lui que nous en sommes là. Il y aura certes un temps d’adaptation parce que cela va jouer plus vite, plus en mouvements, avec des joueurs d’expérience. Mais, les gars sont motivés et j’ai confiance. PM : Cette promotion est également l’occasion de faire avancer le club dans d’autres domaines. Quel peut-être l’objectif du NC HOP à plus long terme ? JFR : Sur le plan financier, le club a été remis à flots depuis deux saisons. On va donc maintenir cette ligne de conduite afin de nous permettre, grâce à la dynamique de cette montée, d’améliorer les structures et de faire grandir le club au travers de son école de glace et de la création d’un sport études à l’horizon 2008. Sur le plan sportif, on va se donner un cycle de 4 ans avant de viser le haut de la division 2. Cela me semble raisonnable. PM : Revenons à la compétition, d’après vous quelles sont les forces en présence ? JFR : Dans notre poule, il y a Brest qui se détache, indéniablement. En tant que vice-champion de France de D2 et comme le champion a été relégué en D3... Ensuite, il y a La Roche-sur-Yon, qui est régulièrement dans les quatre premiers et que nous affrontons lors du premier match, Nantes qui possède une ossature de joueurs d’expérience et Cholet qui a fait un bon recrutement. Après, il y a quelques incertitudes sur les clubs parisiens, Meudon et l’ACBB ainsi que Toulouse. En clair, l’objectif est d’aller prendre des points contre ces équipes et les voisins caennais, plus faire un ou deux bons coups à la maison. PM : A ce propos, le public cherbourgeois – qui a répondu en masse la saison passée- pourrait être un élément clé de vos prestations à domicile ? JFR : En effet. C’est pour ça qu’on espère qu’il viendra aussi nombreux que l’année dernière. On espère, également qu’il va continuer à nous suivre même si on est un peu malmené en début de compétition. Il faut, en effet, qu’il comprenne que ça va prendre du temps. Car, on ne veut pas dépenser l’argent que l’on a pas. Je le répète on fait avec les moyens du bord et c’est sûr que l’on va affronter des équipes contre qui ce sera dur de rivaliser. Reste que nous donnerons toujours le maximum pour montrer que l’on mérite notre place à cet échelon. Ca c’est une évidence. | |||
(511) | |||
11/9 | (Le Bien Public) | - Mont-Blanc - Dijon (Ligue Magnus) - | Prendre un dessert d'entrée |
11/9 | (Ouest France) | - Caen (Ligue Magnus) - | Garnier : « Le championnat est plus fort, nous aussi » |
10/9 | (Le Bien Public) | - Dijon (Ligue Magnus) - | Maric : « Dans les douze premiers » |
6/9 | (Ouest France) | - Angers (Ligue Magnus) - | Pour l'ASGA, ambition rime avec structuration |
5/9 | (Ouest France) | - Interview de Mickaël Juret - | « Faire de l'ASGA un des deux grands clubs angevins ! » |