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Mardi, dans nos colonnes, nous faisions état d’une polémique naissante concernant le supposé dépassement de la masse salariale de plusieurs gros clubs de Ligue Magnus (Grenoble, Rouen, Briançon et Morzine). Cette présumée faute ayant été révélée durant le week-end par nos confrères du Courrier picard et de France Bleu Picardie. Hier, sur les ondes de cette dernière, le président de la commission nationale d’aide et de contrôle de gestion de la fédération française de hockey, Bernard Bourandy, a confirmé ces allégations tout en y ajoutant quelques louches. Il a ainsi énoncé que Briançon, Rouen, Grenoble et, dans une moindre mesure, Morzine avaient franchi la ligne jaune. Angers a lui été sanctionné pour un bilan qui comportait quelques problèmes d’évaluation d’actifs. Tous ces clubs ont payé pour pouvoir être admis en Ligue Magnus, sauf Grenoble. Menacés de ne pas partir en play-offs, les Brûleurs de Loups se seraient finalement acquittés de cette amende. On parle d’un montant total de 41 000 euros, dont des pénalités qui se monteraient à 6 400 euros. Le dépassement de 90 000 euros au-dessus du plafond autorisé serait en réalité bien plus important. Bernard Bourandy affirme sans ambages que certains clubs ont triché. Interrogé par nos confrères de France Bleu Picardie (http://www.bleupicardie.com), le président de la CNACG a enfoncé le clou : « On m’a donné des exemples où l’argent transitait dans une banque suisse, pour payer des joueurs de NHL. La banque payait le traitement de joueurs qui avaient un contrat amateurs. Ça peut être aussi des déclarations erronées, parce que dans la masse salariale, on compte la rémunération des joueurs mais aussi les primes, le logement, tous les avantages en nature. Certains ne les comptent pas, quand nous additionnons, on s’aperçoit que ça dépasse. » Silence des accusés et de Tardif En plus du dépassement de masse salariale, Grenoble aurait créé des sociétés écrans pour payer ses joueurs. « Je ne sais pas si on peut appeler ça des sociétés écrans mais c’est vrai qu’il y a des associations qui financent Grenoble. Je ne peux pas vous donner d’autres détails », conclut l’intéressé, injoignable hier. Face à ces faits, la présidence de la FFHG botte en touche. « Je ne fais pas de commentaire pour le moment. Je vais appeler Bernard Bourandy pour que l’on s’explique », commente brièvement Luc Tardif. Quant aux clubs incriminés, les analyses sont similaires. Ainsi, Rouen et son président, Thierry Chaix, tombent des nues. « Il n’y a aucun souci avec notre masse salariale. D’ailleurs, nous sommes très contrôlés. » Pour Jean-Luc Blache, à la tête de Grenoble, la défense est identique. « Ces déclarations n’engagent que Bernard Bourandy. Lorsqu’on est président d’une commission, on a un devoir de réserve et de confidentialité. Pour ma part, je suis respectueux d’un cadre et je n’en dérogerai pas. Je ne ferai pas d’autres commentaires. Ma priorité actuelle est les play-offs. » Le silence est d’or mais pour autant est-il réconfortant ? Certainement pas. Une véritable explication de la part de tous ces acteurs pointés du doigt semble aujourd’hui indispensable | |||
J.R. (731) | |||
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