Villard-de-Lans 5 - Clermont 2

 

Article La Montagne (20 octobre 2003)

Villard-de-Lans (patinoire André Ravix) Villard de Lans bat Clermont-Ferrand 5 - 2  (1-0, 1-0, 3-2) 600 spectateurs environ. Arbitrage de M.Calamoneri, assisté de MM Corentin et Gielly.
Buts pour Villard : Duval assisté de Millar (4’ 45’’), Billieras assisté de Bourgey (26’ 42’’), Duval assisté de Millar (50’ 1’’), Metro assisté de Negro et Roh (50’ 58’’), Metro assisté de Negro et Gillings (58e2). Huit minutes de pénalité.
Pour Clermont-Ferrand : Roux, assisté de H. Karlsson (45e 57’’), Willers assisté d’Evertsson et Mouly (51e 16). Seize minutes de méconduite.

Dès la première minute, chacune des équipes faisait montre d’envie. A ce jeu, les Villardiens s’avéraient plus performants. Et très vite, puisque Duval, dans la cinquième minute, allumait les lampions villardiens. Le rendement de l’effort était de plus en plus à mettre au crédit des locaux. P.Favarin, dans ses buts, restait intransigeant face à une attaque auvergnate sans détonateur commun ni individuel. A cette allure de croisière bénéfique, les Ours, s’ils parvenaient à construire, à déployer quelques belles envolées, la finition, quant à elle, demeurait stérile.

Tel fut encore plus le cas dans la deuxième période, couronné du 2 - 0 par Billieras et aidé de Bourgey. Ce but vint comme un soulagement et les 600 spectateurs d’André Ravix se réveillèrent avec cette nouvelle performance. Villard déployait avec aisance ses sorties de zone et parvenait à construire là ou les Sangliers peinaient à la tache. A leur avantage, les villardiens possédaient plus d’une supériorité, voire double supériorité pendant les deux premiers tiers temps, mais hélas ! imparfaitement réglés, gênés par trop de précipitation.

Le deuxième repos sonnait et l’on  pouvait sans trop se tromper pronostiquer le dénouement qui allait suivre. C’est en toute confiance, pourtant que Roux parvint à ouvrir le score des visiteurs. Mini-doute, grand remède : Duval et Metro, tous deux dans la 51e minute, parvenaient sans mal à capitaliser logiquement et les compteurs tournaient alors à 4 buts à 1. Willers rétablit un semblant d’équilibre avant que Metro, pour un doublé, à l’instar de Duval, confirme sans détour, avec un brin de facilité, la victoire juste des hommes de Murphy. 

 

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