Strasbourg ramène le nul

 

Article de Ouest France (18 février 2002).

Nantes - Strasbourg 5-5. (2-1, 2-3, 1-1). Arbitres : MM. Calamoneri, Phelippe, Parent. 700 spectateurs. Nantes : Devèze (Ouillade) 7'22"; Leinonen (Fortin, Alie) 11'37" ; Charette (Subit, Alie) 26'12"; Subit (Alie) 35'52"; Ouillade (Charette) 44'19". Dizaine de pénalités. Strasbourg : Saint-Marc (Escuder) 15'16"; Desrosiers 29'30" (Saarinen, Schuchewytsch) 37'40"; McLennan (flinck, Sevcik) 33'52", Flinck 51'03".

Les Corsaires ne pouvaient guère espérer mieux. Un bon nul, leur cinquième de la saison, réalisé aux dépens d'une toujours redoutable formation alsacienne et, cerise sur le gâteau, un nouveau pallier de franchi au classement (6e). "On n'en est pas encore là, se montrait prudent François Dusseau. On a pris un bon point contre Strasbourg, c'est ce qu'il faut retenir. On a souffert physiquement sur la fin après une dure, trop dur peut-être, semaine d'entraînement. Le seul regret, c'est d'avoir, à un moment, trop regardé jouer notre adversaire". Notamment au milieu du second tiers temps, lorsque les partenaires de Claude Devèze, nantis de deux buts d'avance (3-1), voyaient Desrosiers et McLennan égaliser sans trop d'opposition. La course poursuite allait jusqu'à son terme (5-5), Philippe Ranger, le dernier rempart nantais, s'appliquant dans les ultimes secondes à brillamment contrer les tentatives strasbourgeoises.

 

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